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 Plus maladroite que moi ?! Tu meurs ! •• Free (L)

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Dawn L. McCalvin
    •• Admin ; You'll Die ...

Dawn L. McCalvin


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Section: Meurtres en séries

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MessageSujet: Plus maladroite que moi ?! Tu meurs ! •• Free (L)   Plus maladroite que moi ?! Tu meurs ! •• Free (L) Icon_minitimeLun 23 Fév - 21:55

    Une heure moins sept, la salle d'othopsie est vide. Totalement vide. La lumière est éteinte et seul le son du vent contre les fenêtres trouble le silence absolu qui pèse sur les salle d'opérations. C'est normal que personne n'aie l'idée de traîner ici à cette heure tardive, n'est-ce pas ? Demain, il y aura du travail, les agents, même les plus fêtards, essaient de garder un rythme de vie normal. Du coup, mêmes les filles essayant de se faire remarquer et les garçons ayant plus de muscles que d'intelligence, avaient prit la bonne résolution d'aller dormir tôt.

    Pourtant, malgré ça, la porte de la salle s'entrouvrit dans un léger grincement qu'une main pâle aux longs doigts fins et osseux tenta de diminuer en retenant le battant. Une deuxième main fit glisser ses doigts jusqu'à l'interrupteur principal, sur le mur, juste à côté du deuxième battant en bois de la porte. Il fit balancer l'interrupteur vers le bas et la scène s'alluma. Une jeune femme se tenait debout dans l'embrasure de la porte de la Salle. Elle avait avancé d'un pas et à présent, la jeune femme balayait la salle du regard. L'absence totale de présence humaine,la soulagea à la fois que la désespéra. Elle avait espéré y trouver l'un de ses amis. N'importe lequel. Elle poussa un soupir inaudible et résigné et referma précautionneusement la porte derrière elle. Elle ne savait pas à quelle heure les légistes pouvaient revenir et troubler la paix qu'elle essayer de trouver, car même la nuit normalement on travaille, sauf que la jeune femme, elle est de service de jour et non de nuit.

    D'un pas tranquille, décidé et nonchalant, elle s'approcha d'un mur contre lequel elle se laissa tomber. Elle s'y adossa et sa tête balança d'elle-même vers l'arrière. Lorsqu'elle percuta, d'un mouvement sec mais doux, la mur froid, elle ferma les yeux. Après une longue inspiration, elle joint ses mains dans sa nuque et replia ses jambes en tailleur. Son jean remontait toujours quand elle faisait ça, et ça l'énervait. Du coup, quand elle décidait de s'acheter un nouveau pantalon, elle vérifiait toujours que ses socquettes restaient invisibles quand elle s'asseyait.

    La jeune femme souffla sur une mèche de cheveux couleur gaie qui lui tombait sur le nez et la gênait et se mit à réfléchir. Elle grimaça en imaginant ses amis installés, bien au chaud, dans leurs lits, sûrement plongés dans leurs rêves salaces alors que elle était assise là, comme une idiote et condamnée à passer la nuit contre ce mur dans une salle d'autopsie, assez lugubre comme image il faut dire, mais le jeune femme avait l'habitude . Elle ne put retenir un sourire moqueur en imaginant son amie Abby, la peluche hippo qu'elle lui avait offert à Noël, sérrée tout contre elle, entrain de s'agiter sous ses couvertures en pensant à tout sorte de choses complètement stupides comme elle en avait l'habitude. Tout à coup, elle fut très contente d'être épargnée de ce spectacle.

      « N'empêche, se dit-elle tout haut, conscient de n'être entendu par personne d'autre que son subconscient, je dois vraiment être la seule à perdre la clé de son appart'. »


    Elle soupira à nouveau. En effet, elle s'était rendu compte, quelques minutes plus tôt qu'elle n'avait pas la clé de son " chez elle " ... Décidément sa maladresse était surement ce que Cristal se reprochait le plus. Elle perdait tellement de choses que ses amis lui confiaient rarement leurs affaires, ce qui avait le don d'exaspérer la jeune femme.

      « Bah, ça pourrait être pire ! finit-elle par se rassurer elle-même. Il y aurait pu y avoir encore des gens ici ! »


    Aussitôt dit, ausitôt fait. Tel est le dicton. La fille aux cheveux de gaie sursauta en entendant la porte s'ouvrir à nouveau. elle ouvrit brusquement les yeux, alertée et se leva d'un bond. Elle fixait à présent la porte de la salle grande ouverte avec de grands yeux ronds. Espérant que personne ne la réprimande parce qu'elle était là.
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